Lydia, future e-transcripteur,
en formation depuis un an et demi.
Publié le 22 septembre 2016
Comment avez-vous connu Tadeo Acceo ?
J’ai fait un BTS de gestion des milieux ruraux. J’ai ensuite travaillé dans une association pour des personnes en situation de handicap psychique afin de les accompagner dans la gestion administrative de leur quotidien. Mais c’était un remplacement. J’ai connu Acceo grâce à Ludivine Dreze qui était déjà e-transcripteur. Nous sommes toutes les deux pompiers dans la commune de Saint-Claude. Un jour elle m’a parlé de la formation. J’ai passé les tests puis les entretiens avec succès.
Où en êtes-vous ?
Je suis en formation depuis un an et demi. Ma première année a été financée par Pôle emploi. Aujourd’hui, je suis en contrat de professionnalisation. Je travaille tous les jours de 9H00 à 17h00 sur les horaires des e-transcripteurs en poste. La formation dure deux ans. L’année prochaine, pour ma troisième année, je passerai en pré-production. Le matin, je prendrai certains appels sous la supervision d’un tuteur et l’après-midi je poursuivrai la formation. Aujourd’hui, notre promotion de futurs e-transcripteurs forme une très belle équipe. Nous sommes neuf personnes en formation (huit en transcription simultanée de la parole et une en reconnaissance vocale).
Pourquoi avez-vous choisi ce métier ?
Ce métier a du sens pour moi. Je suis fière de permettre aux personnes sourdes et malentendantes d’être totalement autonomes, sans les assister ou les mettre en situation de dépendance. Je dois dire que j’éprouve aussi une grande satisfaction à retranscrire les paroles, à taper les mots à la vitesse de la parole. C’est un challenge extraordinaire.
Partager cet article sur